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Longue de 1000 milles au départ et à l’arrivée de Caen, la CIC Normandy Channel Race emmènera les concurrents en Manche et en mer Celtique sur un parcours exigeant mêlant navigations côtières et au large. Pendant une semaine, les binômes joueront dans des zones de navigations complexes telles que les côtes normandes, le sud de l’Angleterre ou encore l’Irlande. Une première course durant laquelle il faudra être stratégique pour tirer son épingle du jeu.
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« C’est une belle machine de course avec beaucoup de potentiel ! J’apprends encore à le connaître, on sent que c’est un bateau plus grand qui demande plus d’efforts. Par exemple les manœuvres sont différentes, plus longues, il faut davantage les anticiper. Je suis content des premières sensations du bateau, il est puissant et a un potentiel d’accélération quasi-infini, c’est ce qui m’a marqué dès le début. C’est un bon intermédiaire au niveau potentiel et puissance entre le Figaro Bénéteau 3 et l’Ocean Fifty que j’ai fréquentés tous les deux l’année dernière. »
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« On est vraiment dans la mise au point du bateau. C’est une phase que j’aime beaucoup. Je répète les manœuvres, on fait des essais de voile, on affine les réglages. Avec Pierre Daniellot et Guillaume Avrilla, les deux préparateurs du bateau, on se pose plein de questions, on analyse les données, on réfléchit ensemble pour trouver des solutions. Cette phase de découverte et de développement du bateau est vraiment passionnante. »
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« Pour l’instant il y a encore beaucoup de travail, on n’a pas le temps de s’ennuyer. Mentalement, physiquement, on est à flux tendu. Mais c’est vrai que cela va me faire plaisir de prendre le départ de ma première course à bord du Class40 Groupe SNEF. Je vais être super content d’arriver à Caen, d’autant qu’il y a peu de courses au planning. »
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« L’objectif va être surtout de bien manier le bateau, d’appliquer tout ce sur quoi on travaille depuis sa mise à l’eau, de faire des essais, des comparatifs. Pour moi l’objectif principal n’est pas de faire un résultat mais bien de continuer à développer le bateau.
Cependant, on ne se refait pas, j’ai quand même envie d’être dans le match, on va y aller aussi pour être performants. Mais je ne veux pas me mettre de pression inutile à ce sujet. »
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« J’apprécie beaucoup Achille, c’est un copain, on s’entend bien. C’est important quand on part sur une course en double. En plus on a une histoire commune sur nos débuts en Figaro Bénéteau 3 : on s’était entraînés ensemble pendant l’avant-saison puis on a participé à la Sardinha Cup en terminant à une belle troisième place. J’en garde un excellent souvenir.
Et puis Achille a une expérience très intéressante du Class40, il a participé aux deux dernières Transats Jacques Vabre sur ce support et a terminé deuxième de la dernière CIC Normandy Channel Race. Il peut m’apporter beaucoup, ce sera super de bénéficier de son retour d’expérience.
Enfin sa motivation a terminé de me convaincre. Dès qu’il a su que j’avais un projet Class40, il ne m’a plus lâché pour participer à la course ! »
๐ฐ๐๐๐๐๐๐ ๐ฝ๐๐๐๐๐ : « ๐๐๐๐๐ ๐๐ ๐๐๐ก๐๐๐๐ ๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐ ๐๐๐๐๐๐ »
« Naviguer avec Xavier est un immense plaisir et une fierté. On l’avait fait en 2019 au début du Figaro 3 et ça reste un souvenir très fort de ma carrière de skipper professionnel. Je suis très content qu’il ait de nouveau fait appel à moi. La Class40 est une classe que j’ai découverte il y a quelques années et notamment l’an passé où j’ai participé à cette CIC Normandy Channel Race avec Luke Berry et où je m’étais régalé. On terminait deuxièmes après un combat acharné et une course magnifique.
J’avais envie de la refaire et je me suis proposé comme co-skipper à Xavier, content qu’il ait accepté. Il a un bateau tout neuf, de mon côté j’ai une petite expérience du Class40 avec deux Transat Jacques Vabre et une CIC NCR à mon actif. Je vais essayer de lui transmettre les connaissances que j’ai acquises sur ce support du mieux que je peux, que ce soit sur les manœuvres, les voiles et un peu de technique. On va essayer de faire une bonne course, avec de belles trajectoires et tirer le maximum du potentiel de ce bateau qui est, on le sait, un excellent bateau ! »